Quand j'ai pleuré dans le Fuxiu Feast

Je me souviens de ma première fois au Fuxiu Feast. Ce n’était pas une table de jeu, mais une procession éclairée par des lanternes dans un temple de minuit à Chinatown — où chaque pari ressemblait à de l’encens s’élevant dans le silence. Ma mère disait : « La chance ne vient pas quand on la poursuit. Elle vient quand on s’arrête. » J’ai conçu cette UI non comme des pixels, mais comme une archéologie émotionnelle. Chaque main traitée avec du souffle : ce taux de victoire à 45,8 % n’était pas des données — c’était un rythme qui résonnait dans un code ancestral.